Dans un saisissant amalgame de souvenirs sur pellicule et d’images du quotidien, Nisha Platzer tente de reconstruire le portrait de son frère disparu alors qu’elle était enfant. D’abord timide, le film s’approche doucement de son sujet au contact de ceux et celles qui l’ont connu et des bribes d’objets qu’il a laissés derrière lui. On y découvre un adolescent profondément sensible et complexe, qui n’a pas pu surmonter la douleur causée par l’iniquité du monde qui l’entourait. À la fois une œuvre de deuil et une réflexion sur les ratés du traitement de la maladie mentale, back home met en lumière la difficile tâche de faire face à la détresse de ceux et celles qui partent, mais aussi de ceux et celles qui restent.
— Équipe de rédaction

Avertissement : ce film contient des mentions d'automutilation et des effets lumineux stroboscopiques.

Présenté en collaboration avec le Festival du nouveau cinéma de Montréal (FNC)

compétition : Compétition Nouveaux Regards

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